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Henri II, le Dernier Tournoi du Roi


« Le Lyon jeune le vieux surmontera / En champ bellique par singulier duel / Dans cage d’or les yeux lui crèvera / Deux classes une puis mourir, mort cruelle » (Nostradamus). En ce printemps frileux du 15 mars 1531, Paris prépare les fêtes de l’entrée et du sacre de la reine Éléonore, la nouvelle épouse de François Ier. Après la cérémonie à Saint-Denis et le banquet offert par la municipalité, la journée doit se clôturer traditionnellement par un tournoi où s’affronteront les meilleurs représentants de la noblesse, suivi d’un bal.


Marie-Hélène Parinaud

L’arène où la fleur des chevaliers français se mesure sous les yeux de la Cour et des ambassadeurs est installée rue Saint-Antoine. C’était alors la rue la plus large de la capitale, donc idéale pour la joute. Elle a été dépavée et sablée, de son début face à l’hôtel Saint-Paul, à l’endroit où elle s’élargit et forme presque une place (1) pour arriver devant la demeure royale des tournelles. Les champions vont s’affronter en s’élançant à fond de train l’un contre l’autre, de façon à ce que le choc soit le plus rude possible. Une palissade de la hauteur des garrots des chevaux sépare les adversaires sur toute sa longueur. Le long des lices, des tribunes ont été élevées par les charpentiers pour que s’y installent, selon un protocole hiérarchique, les dames de la Cour et les grands seigneurs, chacun arborant des vêtements somptueux, brocards, velours, dentelles et scintillant de bijoux. Il s’agit de briller et de rivaliser par la parure, autant que les jouteurs dans les combats.

Les épaisses tentures qui tapissent ces tribunes, édifiées contre les façades des maisons dont elles condamnent les ouvertures, font comme un écrin aux splendeurs de la Cour. Pour tenter d’en apercevoir quelques aspects, leurs propriétaires peuvent, à leur risques et périls, grimper sur leur toit et se cramponner aux cheminées. Ainsi perchés – ancêtres des « poulaillers » des théâtres –, ils tendent le cou, essayant de distinguer et de reconnaître sous leurs armures brillantes, telles des pièces d’orfèvrerie, et empanachées de plumes de toutes les couleurs, quels sont les seigneurs qui paradent devant les tribunes. Ils sont identifiables, comme les casaques des chevaux de course aujourd’hui, par leurs couleurs et leurs blasons. Ce fastueux décorum est tout ce qui reste de la chevalerie. La noblesse tient passionnément à ces rites somptueux et brutaux dans lesquels elle s’identifie à des personnages légendaires dont elle veut égaler les exploits.

Remarquable combattant lui-même, le roi François Ier partage cette fascination. Pour cette raison, on l’a surnommé « le roi chevalier ». Ce soir-là, il ne présente pas seulement sa nouvelle épouse à ses sujets, mais aussi ses fils : le dauphin François et son cadet, Henri. Les deux princes viennent d’être libérés des prisons espagnoles, après quatre ans d’une détention très dure, le temps que le roi ait réuni le montant de leur rançon. Ils s’apprêtent à jouter pour la première fois.


La déclaration d’amour

Alors que tous les chevaliers caparaçonnés et emplumés inclinent leur lance devant la dame « pour l’honneur de laquelle ils allaient combattre », on voit avec surprise le prince Henri, au casque surmonté d’un austère panache, noir et blanc, incliner la sienne devant la sénéchale Diane de Poitiers dont il se déclare ainsi le champion. Noir et blanc : les couleurs du veuvage de Diane, qui porte le deuil de son époux ! Toutes les dames de la Cour trouvent cet hommage enfantin charmant, de la part d’un garçonnet de douze ans envers une femme qui en a trente-deux !


Vingt-huit ans plus tard, le 30 juin 1559, exactement à la même place, et de la même façon, devenu le roi Henri II après la mort de son père et de son frère aîné, il incline de nouveau sa lance devant les beaux yeux de celle à qui il a consacré son amour : Diane de Poitiers.

Siégeant en majesté à côté de la reine Catherine de Médicis, la favorite, portant fièrement ses soixante ans, incline gracieusement la tête. Le tournoi peut commencer. Il est donné, suite au traité du Cateau-Cambresis du 2 avril précédent, en l’honneur du double mariage de la jeune princesse Élisabeth de France avec le vieux roi Philippe II  d’Espagne et de la sœur du roi Henri II, la princesse Margueritte, avec le duc Emmanuel-Philibert de Savoie. Ce traité, sorte d’armistice, permet au roi de France, qui a perdu la guerre, d’acheter la paix.

Plusieurs assauts ont eu lieu en cette chaude journée d’été. Les applaudissements crépitent des tribunes lorsque les chevaliers, lancés à grande vitesse l’un contre l’autre  pour se désarçonner, rompent leurs lances mais restent en selle malgré le choc. Toute la Cour attend son champion : le roi. Il affronte d’abord son futur beau-frère, Emmanuel-Philibert : « Serrez bien les genoux car je veux vous bien ébranler ! », rit-il avant de refermer son heaume.

Le choc des titans

Les trompettes sonnent, les chevaliers s’élancent. Les deux lances se brisent sous le choc et le duc vacille. Dans les tribunes, le silence est absolu. On regarde le duc de Savoie, il se cramponne à l’arçon pour ne pas chuter. Le roi est vainqueur ! Dans les tribunes, c’est du délire. Diane de Poitiers sourit à son amant. À ses côtés, la reine, rassurée par les acclamations, rouvre les yeux.

Le roi décide alors d’affronter un second adversaire, mais doit changer de monture, la sienne étant épuisée par le choc autant que par la chaleur. Le duc de Savoie, qui se remet de sa défaite, propose galamment à son futur beau-frère son plus beau cheval. La bête, très nerveuse, est magnifique. Elle doit l’être pour supporter le choc qui s’annonce. Le second adversaire du roi est un champion, jamais vaincu, le duc de Guise.

Il est bientôt midi. Les chevaliers ruissellent sous leurs armures, comme les dames de la Cour sous leurs riches atours. Les trompettes sonnent, les chevaliers se ruent l’un vers l’autre au galop effréné de leurs chevaux. Fracas du choc ! Les deux lances se brisent. Le duc n’a pas bronché. Le roi non plus. Match nul. Les dames dans les tribunes applaudissent puis s’épongent avec leurs mouchoirs. On n’en peut plus de chaleur.

Pendant que Guise, invaincu, s’en retourne, le roi qui a ôté son casque se laisse essuyer la sueur qui ruisselle sur son visage par ses valets, et remercie le duc de Savoie qui s’est approché pour le féliciter : « Excellent cheval, nerveux, d’une joyeuse ardeur. » Le duc de Savoie répond aussitôt : « Je suis heureux qu’il vous ait bien servi jusqu’à la fin de ce tournoi, prouvant qu’il ne mérite pas son nom de “Malheureux”. » Le roi l’a-t-il bien entendu terminer sa phrase ? A-t-il compris « Valeureux » ? La monture est fringante et le roi mis en appétit par sa victoire sur son beau-frère, ne veut pas rester sur le goût fade d’un match nul. Il se choisit un nouvel adversaire : Montgomery !


Le jeune capitaine de sa garde écossaise, fier d’avoir été désigné, se fait hisser sur sa monture. Ce n’est pas un courtisan. Il ne comprend pas que pour faire son chemin à la Cour, il faut savoir perdre avec élégance devant son roi. Le public, accablé de chaleur, soupire, et la reine envoie un messager à son époux pour le prier de renoncer à cette troisième joute.


Renoncer ? Lui ?

Les juges d’armes et ses proches, dont le maréchal de Vieilleville, insistent : « Trois joutes de suite sont contraires aux usages. » Le roi réplique « que ce sera cette fois pour la reine qu’il va jouter ». C’est donc pour la favorite qu’il guerroyait jusqu’alors. Cette dernière, au centre de la tribune royale, n’a d’ailleurs cessé de sourire.

Les trompettes sonnent, les cavaliers s’élancent. Ils chargent lance en avant. Chacun s’est tu, fasciné, attendant le choc. Les montures foncent, on n’entend que le martellement fracassant des sabots. Un cri d’effroi s’échappe de toutes les bouches. Dans les tribunes chacun s’est levé d’un même élan. Le roi a été touché ! Le cheval l’emporte dans son  galop jusqu’au bout de la lisse où les écuyers se précipitent. Le roi s’est agrippé au pommeau, le plumet de son casque se mélangeant à la crinière de sa monture qui, affolée par cette grappe de gens qui crient tout autour de lui et cherchent à l’arrêter, se dérobe et cogne de ses sabots le roi qui a glissé à terre. Celui-ci est soulevé par ses serviteurs qui l’emportent sur un brancard à l’abri. Vite, on lui soulève son casque. Un flot de sang jaillit de ses yeux, couvre son visage et le défigure, tandis qu’il gémit : « Je suis mort », avant de s’évanouir.

Dans la tribune royale, la reine elle aussi s’est évanouie. À ses cotés, Diane de Poitiers a cessé de sourire, elle est livide. Si le roi meurt, elle n’est plus rien…


Fin du règne

Montgomery, atterré, s’est précipité. Il bouscule les courtisans qui sont accourus en masse à la suite du roi dans la demeure des Tournelles où on l’a déposé dans sa chambre. Il demande pardon au roi qui, revenu à lui, murmure d’une voix faible : « Ne vous souciez pas, vous avez obéi à votre roi… »

Déjà chacun repousse et expulse le maladroit de la chambre royale, où la reine et ses enfants entourent le lit où gît le blessé. Tandis que le duc de Guise et le maréchal de Montmorency baignent de vinaigre le visage du monarque, Catherine de Médicis et le dauphin François, âgé de quinze ans, sanglotent.

Chacun s’écarte alors pour laisser passer les médecins, tandis que derrière eux les courtisans s’entassent, sans souci de froisser leurs somptueux costumes. Ils regardent les praticiens sonder la blessure faite par Montgomery. Dominant les hurlements du blessé, ils en arrachent de longues échardes. Ils ont à peine terminé que le chirurgien, Ambroise Paré, appelé par le maréchal de Montmorency, entre à son tour.

Il se fait expliquer très minutieusement toutes les circonstances, examine les débris de la lance et la blessure du roi sans le faire crier. Surpris de la fièvre qui vient de se déclarer, il voudrait pour mieux se prononcer reconstituer exactement l’accident sur d’autres corps. Il demande à la reine de faire tirer de leurs geôles quelques condamnés, qu’on exécutera, avant de lui porter leurs têtes au plus vite.


Les expériences d’Ambroise Paré

Le bourreau, aussitôt prévenu, fait au plus vite. Une heure après, il apporte quatre têtes fraîchement coupées. Ambroise Paré les dispose sur la table, et tandis que les grands seigneurs et leurs épouses se pressent derrière lui, dans leurs pesants atours de fête pour assister à l’expérience, il enfonce violemment une longue écharde dans l’œil droit de la première tête et compare avec le roi. « Non, trop à droite. » Il plonge de nouveau un autre bout de lance. Mécontent du résultat, il demande la troisième tête. Encore un essai. Cette fois-ci c’est pire que les deux premières fois, le fragment qu’il vient d’enfoncer étant ressorti par la joue et l’ayant déchirée, plutôt que la paupière. Reste la dernière tête…

La reine, voyant l’hésitation du médecin s’empresse : « Maître Paré voudrait-il d’autres tête ? » Après s’être recueilli un instant, le praticien plonge la grande pointe au-dessus de l’œil et se redresse avec satisfaction. « Identique. » Il introduit alors son index dans l’œil blessé, qu’il arrache et écarte les chairs. Malgré la foule qui encombre la chambre, on n’entend plus aucun bruit, chacun reste muet, fasciné par la boucherie. Seuls les râles du roi rythment le silence. Constatant que la fièvre du monarque a encore augmenté, le chirurgien le déclare perdu.


Le message de la favorite

Diane de Poitiers, avertie du verdict, écrit aussitôt à la reine. Elle lui demande humblement pardon. Elle sollicite sa permission de se retirer pour toujours de la Cour, dans sa propriété de Chenonceaux. Pour souligner son repentir, l’ex-favorite a pris soin de joindre à sa missive les bijoux de la Couronne que son amant lui avait offerts.

La reine, lorsqu’on lui porte la cassette et la lettre de sa rivale, prend sa plume, barre Chenonceaux et écrit Chaumont, qui sera désormais sa nouvelle demeure. Certains, dans son entourage italien, s’étonnent de cette mansuétude. Du temps de sa puissance, la belle Diane ne lui avait pas ménagé les avanies ; à la place de Catherine, elle eût été impitoyable. Elle peut s’attendre à tout perdre, à commencer par la vie. Mais cette reine méconnue, qui se drape dès lors dans de longs habits noirs de veuve, lui pardonne par amour conjugal : « Je ne puis oublier qu’elle faisait les délices de mon cher mari. »

Henri II n’est pas mort. Le quatrième jour, à la surprise générale – à commencer par celle des médecins –, la fièvre tombe. Il demande d’une voix faible que l’on hâte pour le jour même le mariage de sa sœur avec le duc de Savoie. Quelques heures plus tard, à minuit, il a lieu dans l’église Saint-Paul. Cérémonie étrange, sans aucune solennité, où tout le monde pleure et porte le deuil.


La leçon d’anatomie

Onze jours après le fatal tournoi, le 10 juillet, Henri II est déclaré mort. Avant que son corps embaumé ne soit emporté jusqu’à la nécropole des rois à Saint-Denis, sa dépouille est confiée à Ambroise Paré.

Le chirurgien, que la soudaine apparition de la fièvre a si fort étonné la semaine passée, a convié ses meilleurs élèves et assistants. Il leur a laissé entendre que la blessure de l’œil, impressionnante pour un néophyte, n’était pas à son avis d’importance à provoquer la mort du roi. Il leur en fait la démonstration, en sciant et ouvrant le crâne du défunt, ponctuant chaque étape de son discours par la désignation des différents dégâts. Autour de lui, ses élèves se pressent, tête contre tête, au-dessus de celle du roi. D’abord la face. « Le roi reçut un très grand coup de lance, qui lui fut cause d'enlever la visière. Un éclat du contre coup lui donna au-dessus du sourcil dextre et lui dilacéra le cuir musculeux du front, près l’os, jusqu’au petit coin de l’œil senestre. Plusieurs petits fragments, esquilles de l’éclat demeurent en la substance du dit œil sans faire aucune fracture aux os. L’important n’est donc pas là. Maintenant, si on regarde plus loin, à l’arrière du crâne… » Et finissant de décalotter le crâne, il pointe de son stylet un amas décoloré et nauséabond. Les élèves acquiescent tandis qu’il dicte : « En la partie opposite du coup, comme environ le milieu de l’os occipital, une quantité de sang épandue, entre la dure mère et la pie mère et l’altération de la substance du cerveau, de  couleur jaunâtre, environ la grandeur d’un pouce, fut trouvée en commencement de putréfaction. Ce furent causes de la mort et non le vice de l’œil. »


Le « Malheureux » portait bien son nom. Aveuglé et assommé par le choc de la lance de Montgomery ripant sur son crâne, le roi n’a pu stopper le trop fringuant cheval. L’animal effarouché par les cris et les gestes des écuyers qui se précipitent à sa rencontre, a jeté son cavalier à terre et, lors de sa chute, l’a heurté d’un coup de sabot ferré, provoquant une hémorragie interne. Une blessure contre laquelle personne à l’époque ne peut survivre.


Montgomery

Le capitaine de la garde écossaise, certain de tomber en disgrâce après un coup si malencontreux, préfère s’éloigner de la capitale, puis sort de France et rejoint sa famille anglaise. Là-bas, il découvre la richesse de ses cousins protestants, qui se sont appropriés, grâce à ce changement de religion, les biens de l’Église catholique. Il revient sur ses terres normandes converti, et met en pratique ces intéressants exemples en s’emparant aussitôt des terres de l’Église et de ses voisins catholiques. Puis, il déclare avoir volontairement tué le roi et adopte fièrement de nouvelles armoiries, une pique s’enfonçant dans la visière d’un heaume ! Jeanne d’Albret, huguenote fanatique et mère du futur Henri IV, l’appelle en Navarre pour combattre la petite armée catholique commandée par le comte de Terrède qui l’occupe. Montgomery, avec ses troupes protestantes, assiège la garnison d’Orthez qui se rend sous promesse d’avoir la vie sauve. Mais peu de temps après, en entrant à Pau pour fêter sa victoire, il change d’avis et fait massacrer tous ses prisonniers (24 août 1569). C’est le jour de la saint Barthélemy, décidément prédestiné aux tueries. Trois ans plus tard, jour pour jour, lors de la saint Barthélemy parisienne, il s’échappe de justesse, arrive à Londres et propose à Élisabeth d’Angleterre de lui livrer La Rochelle. La reine lui confie aussitôt une flottille pour qu’il se rende maître de cette ville. Ne parvenant à s’en emparer, il retourne en Normandie et la met en coupe réglée, pillant la campagne, assiégeant les villes. Le maréchal de Matignon le fait prisonnier au siège de Domfront. Ramené à Paris, il est décapité en place de Grève comme rebelle, non comme assassin du roi.


Comment serait soignée une telle blessure aujourd’hui ?

Que serait-il advenu du roi et du traitement de sa blessure si Ambroise Paré avait disposé des techniques médicales de notre époque ? Le docteur Boutaric a imaginé, en 1985, ce voyage dans le temps et la science. Rue Saint-Antoine, le SAMU est sur place. On cisaille immédiatement à l’oxy-coupeur le casque et l’armure pour dégager le blessé et le déposer dans un matelas-coque déposé dans l’ambulance qui file sirène en marche droit vers l’hôpital Saint-Antoine tout proche. Le médecin du SAMU diagnostique immédiatement que la blessure sus-orbitaire qui ensanglante le visage du blessé n’est pas trop grave. En revanche, il s’alarme de l’évanouissement du roi, qu’il intube. Arrivé à l’hôpital, dans le service du professeur Paré, ce dernier constate lui aussi la bénignité de la blessure à l’œil et s’inquiète d’avantage de la perte de connaissance du blessé. Le scanner révèle un volumineux hématome sous-dural dans la région occipitale. Transporté au bloc opératoire de neurochirurgie, le roi est immédiatement opéré et son hématome résorbé. La semaine suivante, transporté en ambulance jusqu’à Chenonceaux, il achève sa convalescence sur les bords de la Loire, en compagnie de Diane de Poitiers. Le roi continuant à régner, il n’y aurait pas eu de régence de Catherine de Médicis, donc pas de pouvoir central faible. Les grands féodaux restant soumis au souverain n’auraient jamais osé lever des armées régionales et prétendre à l’indépendance. Le conflit religieux se serait réglé sur les bûchers, non par les armes, et il n’y aurait peut-être jamais eu de guerre de religion…

 
 
 

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